Deuxième épisode de la série de chroniques de François Miquet-Marty sur les paradoxes des transitions actuelles : ne faut-il pas considérer que les imaginaires dystopiques ne sont pas uniquement prédateurs des intelligences artificielles, mais également parfois promoteurs ?
En vingt-cinq ans, le sentiment de déclassement personnel des Français est devenu majoritaire. Ce phénomène souterrain ravage le récit collectif national sur le progrès social, décortique François Miquet-Marty.
Sous les « a priori » de linéarité, notre monde est gouverné par des mutations souvent hésitantes, en allers et retours, travaillées par des forces contraires : de quoi les « transitions » de notre monde sont-elles le nom ? Première publication dans Les Echos.
Après un siècle de (relative) stabilité, la finance est en plein bouleversement, sous l’impulsion de trois tendances majeures, "trois moteurs d'une même "fusée"
Face à l'ampleur des défis climatiques à venir, et en regard des diffractions de société (données Viavoice et prospectives Global Center for the Future), l'importance de revenir à l'histoire des idées et de concevoir des pensées nouvelles.
"Visions d'avenir". Nouveau baromètre réalisé pour le centre de prospective GCF (Global Center for the Future) et pour BFM Business : "L'économie française d'ici dix ans".
Le livre d'Yves Perrier et François Ewald, « Quelle économie politique pour la France ? Pour un nouveau pacte Etat-entreprises-citoyens » (Editions de l'Observatoire, 2023), plaide pour une thèse centrale : la France a besoin de renouer avec une « économie politique », c’est-à-dire pour une large part un Etat stratège, une ambition de puissance, une vision économique inscrite dans la durée, au service des intérêts du pays.